Qui sont tes ancêtres ? Les connais-tu ? Sais-tu ce qu'ils ont fait pour toi, pour moi et pour nous toutes ?

¿Quiénes son tus ancestras? ¿Las conoces? ¿Sabes qué hicieron por ti? ¿Por mí y por todas nosotras?

6/9/2025

Savoir qui sont nos ancêtres est important. Elles nous ont laissé un héritage émotionnel et social qui n'est pas visible à première vue, mais qui fournit des informations si nous savons l'analyser.

Se souvenir de nos grands-mères en mettant de côté l'amour romantique peut nous réserver de grandes surprises.

Cela peut également nous donner les clés pour comprendre, à travers leurs vies, comment les droits des femmes ont évolué (ou non dans certains cas). Leur héritage reflète le travail à faire concernant l'égalité entre hommes et femmes, mais aussi dans la lutte contre la violence de genre.  

L'histoire de nos ancêtres : tracer l'histoire pour comprendre la réalité  

Mes ancêtres sont deux femmes aux vies extrêmement différentes, pourtant elles partagent beaucoup en commun, et pas nécessairement des recettes de cuisine.  

D'un côté, il y a Tahabita, ma grand-mère paternelle. Elle est décédée en 2005 à l'âge de 98 ans. Mère de 9 enfants, Tahabita est née et a grandi dans un petit village de Zacatecas, au Mexique, et a été mariée plusieurs années à mon grand-père Antonio.

Il est mort bien avant elle car il était beaucoup plus âgé. Il était si vieux que la légende familiale raconte qu'un jour Antonio est passé devant la maison de ma grand-mère et l'a vue par la fenêtre, alors qu'elle prenait un bain de soleil dans sa petite chaise de bébé.

À l'époque de mes grands-parents, l'âge était certes un facteur déterminant pour la mortalité, mais en ce qui concerne les abus ou les agressions, le temps semble ne pas avoir passé.  

L'amour romantique transforme les horreurs en légendes d'amour  

Cela semblerait insensé qu'un garçon de 15 ou 20 ans s'intéresse à un bébé de quelques mois.

De nos jours, ces situations, ou plutôt ces crimes, continuent de se produire dans de nombreux pays et sont même encouragés et promus par certaines communautés mondiales, mettant les filles en vente et/ou les mariant à des hommes.  

De l'autre côté, il y a Guadalupe, ma grand-mère maternelle, née et a grandi dans l'État de Jalisco, au Mexique. Aujourd'hui, elle a 87 ans, elle est veuve et vit à Los Angeles, aux États-Unis. Guadalupe est tombée enceinte à 15 ans.

Allez savoir si c'était une grossesse désirée, fruit d'une relation consentie avec mon grand-père Andrés, et si pour cette raison, la famille a décidé de les marier.

Ou est-ce que le mariage a eu lieu pour sauver l'honneur de mon arrière-grand-père ou parce que les jeunes filles décentes ne tombent pas enceintes juste ainsi, n'est-ce pas ?  

Au Mexique, l'on considère qu'une fille de 15 ans devient une femme au moment où elle a ses premières règles. Alors 15 ans, c'est largement suffisant pour s'occuper d'un bébé, non ? Eh bien non, mais voici comment les choses se sont passées.  

Ce qu'elles ont en commun, c'est que toutes deux se sont embarquées dans l'aventure de la maternité, peut-être sans le vouloir. Et, sûrement qu'aucune d'elles n'a pu choisir cette maternité. Entre nous, j'en suis certaine.

Ma grande mère Guadalupe

Au Mexique l'on considère qu'une fille de 15 ans devient une femme au moment où elle a ses premières règles. Pensez vous que à 15 ans on est assez matures pour s'occuper d'un bébé ? Eh bien non, mais c'est ainsi que les choses se sont passées.

La maternité : désirée ou non, mais bien réelle  

Tahabita, ma grand-mère paternelle, a eu mon père à l'âge de 42 ans. J'ai du mal à croire que, lui étant le plus jeune des 9 enfants, ma grand-mère ait voulu prendre cette décision. Je pense plutôt qu'elle n'a pas eu le droit de choisir sa maternité, ni ses maternités, puisqu'elle a eu 9 enfants, les uns après les autres. Et nous ne pouvons plus lui demander si, parmi toutes ces grossesses, il y a eu des avortements, mais, par simple statistique, on peut penser que oui.  

Dans quelles conditions a-t-elle accouché et vécu ces possibles avortements ? De combien de violences gynéco-obstétricales a-t-elle été victime dans le Mexique rural des années 30 et 40 ? Cela me terrifie d'y penser.  

L'avortement à l'époque de nos grands-mères n'était pas une option  

Guadalupe, ma grand-mère maternelle, n'a eu que deux filles. Enfin, "que" deux, mais très rapprochées l'une de l'autre. Elle a eu ma mère à 15 ans, puis ma tante à 16 ans. On peut se demander ce que diable fait une fille de 16 ans à vouloir un autre bébé alors qu'elle en a déjà un de quelques mois. Mais bon, peut-être qu'elle avait vraiment envie de ce deuxième enfant, peut-être que c'était une grossesse désirée.  

Mais si l'on considère toutes les conditions dans lesquelles les choses se sont déroulées dans la vie de ma famille maternelle, j'en doute fortement. Cependant, cela ne pouvait autrement être, car deux adolescentes étaient en charge d'une responsabilité sans commune mesure.  

Et, je n'ose même pas imaginer tout ce que ma grand-mère a pu endurer.

L'histoire de tes ancêtres est étroitement liée à tes droits

Quelles ressources avaient-elles pour dire qu'elles ne voulaient pas ? Quelle éducation sexuelle ont-elles reçue ? Comment pouvaient-elles se défendre contre les machismes qui les entouraient ?

Les grands-mères et leurs moyens : elles ont fait ce qu'elles pouvaient  

Et ce n'est pas la faute de Guadalupe ni de Tahabita d'avoir mis au monde 9 enfants ou deux filles à un si jeune âge. Quelles ressources avaient-elles pour dire qu'elles ne voulaient pas ? Quelle éducation sexuelle ont-elles reçue ? Comment pouvaient-elles se défendre contre les machismes qui les entouraient ?

Comment pouvaient-elles savoir qu'elles étaient victimes d'un système patriarcal dans lequel leurs vies avaient peu de valeur, et que la seule manière d'avoir un certain statut était d'être épouse et mère, puisque c'était le seul rôle qui leur était accordé en tant que femmes ?

Qui sont tes ancêtres ? Les connais-tu ? Sais-tu ce qu'ils ont fait pour toi, pour moi et pour nous toutes ?

Pourquoi il est important de connaître nos ancêtres ?

¿Quiénes son tus ancestras? ¿Las conoces? ¿Sabes qué hicieron por ti? ¿Por mí y por todas nosotras?

Qui sont tes ancêtres ? Les connais-tu ? Sais-tu ce qu'ils ont fait pour toi, pour moi et pour nous toutes ?

6/9/2025

Savoir qui sont nos ancêtres est important. Elles nous ont laissé un héritage émotionnel et social qui n'est pas visible à première vue, mais qui fournit des informations si nous savons l'analyser.

Se souvenir de nos grands-mères en mettant de côté l'amour romantique peut nous réserver de grandes surprises.

Cela peut également nous donner les clés pour comprendre, à travers leurs vies, comment les droits des femmes ont évolué (ou non dans certains cas). Leur héritage reflète le travail à faire concernant l'égalité entre hommes et femmes, mais aussi dans la lutte contre la violence de genre.  

L'histoire de nos ancêtres : tracer l'histoire pour comprendre la réalité  

Mes ancêtres sont deux femmes aux vies extrêmement différentes, pourtant elles partagent beaucoup en commun, et pas nécessairement des recettes de cuisine.  

D'un côté, il y a Tahabita, ma grand-mère paternelle. Elle est décédée en 2005 à l'âge de 98 ans. Mère de 9 enfants, Tahabita est née et a grandi dans un petit village de Zacatecas, au Mexique, et a été mariée plusieurs années à mon grand-père Antonio.

Il est mort bien avant elle car il était beaucoup plus âgé. Il était si vieux que la légende familiale raconte qu'un jour Antonio est passé devant la maison de ma grand-mère et l'a vue par la fenêtre, alors qu'elle prenait un bain de soleil dans sa petite chaise de bébé.

À l'époque de mes grands-parents, l'âge était certes un facteur déterminant pour la mortalité, mais en ce qui concerne les abus ou les agressions, le temps semble ne pas avoir passé.  

L'amour romantique transforme les horreurs en légendes d'amour  

Cela semblerait insensé qu'un garçon de 15 ou 20 ans s'intéresse à un bébé de quelques mois.

De nos jours, ces situations, ou plutôt ces crimes, continuent de se produire dans de nombreux pays et sont même encouragés et promus par certaines communautés mondiales, mettant les filles en vente et/ou les mariant à des hommes.  

De l'autre côté, il y a Guadalupe, ma grand-mère maternelle, née et a grandi dans l'État de Jalisco, au Mexique. Aujourd'hui, elle a 87 ans, elle est veuve et vit à Los Angeles, aux États-Unis. Guadalupe est tombée enceinte à 15 ans.

Allez savoir si c'était une grossesse désirée, fruit d'une relation consentie avec mon grand-père Andrés, et si pour cette raison, la famille a décidé de les marier.

Ou est-ce que le mariage a eu lieu pour sauver l'honneur de mon arrière-grand-père ou parce que les jeunes filles décentes ne tombent pas enceintes juste ainsi, n'est-ce pas ?  

Au Mexique, l'on considère qu'une fille de 15 ans devient une femme au moment où elle a ses premières règles. Alors 15 ans, c'est largement suffisant pour s'occuper d'un bébé, non ? Eh bien non, mais voici comment les choses se sont passées.  

Ce qu'elles ont en commun, c'est que toutes deux se sont embarquées dans l'aventure de la maternité, peut-être sans le vouloir. Et, sûrement qu'aucune d'elles n'a pu choisir cette maternité. Entre nous, j'en suis certaine.

Savoir qui sont nos ancêtres est important. Elles nous ont laissé un héritage émotionnel et social qui n'est pas visible à première vue, mais qui fournit des informations si nous savons l'analyser.

Se souvenir de nos grands-mères en mettant de côté l'amour romantique peut nous réserver de grandes surprises.

Cela peut également nous donner les clés pour comprendre, à travers leurs vies, comment les droits des femmes ont évolué (ou non dans certains cas). Leur héritage reflète le travail à faire concernant l'égalité entre hommes et femmes, mais aussi dans la lutte contre la violence de genre.  

L'histoire de nos ancêtres : tracer l'histoire pour comprendre la réalité  

Mes ancêtres sont deux femmes aux vies extrêmement différentes, pourtant elles partagent beaucoup en commun, et pas nécessairement des recettes de cuisine.  

D'un côté, il y a Tahabita, ma grand-mère paternelle. Elle est décédée en 2005 à l'âge de 98 ans. Mère de 9 enfants, Tahabita est née et a grandi dans un petit village de Zacatecas, au Mexique, et a été mariée plusieurs années à mon grand-père Antonio.

Il est mort bien avant elle car il était beaucoup plus âgé. Il était si vieux que la légende familiale raconte qu'un jour Antonio est passé devant la maison de ma grand-mère et l'a vue par la fenêtre, alors qu'elle prenait un bain de soleil dans sa petite chaise de bébé.

À l'époque de mes grands-parents, l'âge était certes un facteur déterminant pour la mortalité, mais en ce qui concerne les abus ou les agressions, le temps semble ne pas avoir passé.  

L'amour romantique transforme les horreurs en légendes d'amour  

Cela semblerait insensé qu'un garçon de 15 ou 20 ans s'intéresse à un bébé de quelques mois.

De nos jours, ces situations, ou plutôt ces crimes, continuent de se produire dans de nombreux pays et sont même encouragés et promus par certaines communautés mondiales, mettant les filles en vente et/ou les mariant à des hommes.  

De l'autre côté, il y a Guadalupe, ma grand-mère maternelle, née et a grandi dans l'État de Jalisco, au Mexique. Aujourd'hui, elle a 87 ans, elle est veuve et vit à Los Angeles, aux États-Unis. Guadalupe est tombée enceinte à 15 ans.

Allez savoir si c'était une grossesse désirée, fruit d'une relation consentie avec mon grand-père Andrés, et si pour cette raison, la famille a décidé de les marier.

Ou est-ce que le mariage a eu lieu pour sauver l'honneur de mon arrière-grand-père ou parce que les jeunes filles décentes ne tombent pas enceintes juste ainsi, n'est-ce pas ?  

Au Mexique, l'on considère qu'une fille de 15 ans devient une femme au moment où elle a ses premières règles. Alors 15 ans, c'est largement suffisant pour s'occuper d'un bébé, non ? Eh bien non, mais voici comment les choses se sont passées.  

Ce qu'elles ont en commun, c'est que toutes deux se sont embarquées dans l'aventure de la maternité, peut-être sans le vouloir. Et, sûrement qu'aucune d'elles n'a pu choisir cette maternité. Entre nous, j'en suis certaine.

Ma grande mère Guadalupe

Au Mexique l'on considère qu'une fille de 15 ans devient une femme au moment où elle a ses premières règles. Pensez vous que à 15 ans on est assez matures pour s'occuper d'un bébé ? Eh bien non, mais c'est ainsi que les choses se sont passées.

Au Mexique l'on considère qu'une fille de 15 ans devient une femme au moment où elle a ses premières règles. Pensez vous que à 15 ans on est assez matures pour s'occuper d'un bébé ? Eh bien non, mais c'est ainsi que les choses se sont passées.

La maternité : désirée ou non, mais bien réelle  

Tahabita, ma grand-mère paternelle, a eu mon père à l'âge de 42 ans. J'ai du mal à croire que, lui étant le plus jeune des 9 enfants, ma grand-mère ait voulu prendre cette décision. Je pense plutôt qu'elle n'a pas eu le droit de choisir sa maternité, ni ses maternités, puisqu'elle a eu 9 enfants, les uns après les autres. Et nous ne pouvons plus lui demander si, parmi toutes ces grossesses, il y a eu des avortements, mais, par simple statistique, on peut penser que oui.  

Dans quelles conditions a-t-elle accouché et vécu ces possibles avortements ? De combien de violences gynéco-obstétricales a-t-elle été victime dans le Mexique rural des années 30 et 40 ? Cela me terrifie d'y penser.  

L'avortement à l'époque de nos grands-mères n'était pas une option  

Guadalupe, ma grand-mère maternelle, n'a eu que deux filles. Enfin, "que" deux, mais très rapprochées l'une de l'autre. Elle a eu ma mère à 15 ans, puis ma tante à 16 ans. On peut se demander ce que diable fait une fille de 16 ans à vouloir un autre bébé alors qu'elle en a déjà un de quelques mois. Mais bon, peut-être qu'elle avait vraiment envie de ce deuxième enfant, peut-être que c'était une grossesse désirée.  

Mais si l'on considère toutes les conditions dans lesquelles les choses se sont déroulées dans la vie de ma famille maternelle, j'en doute fortement. Cependant, cela ne pouvait autrement être, car deux adolescentes étaient en charge d'une responsabilité sans commune mesure.  

Et, je n'ose même pas imaginer tout ce que ma grand-mère a pu endurer.

Savoir qui sont nos ancêtres est important. Elles nous ont laissé un héritage émotionnel et social qui n'est pas visible à première vue, mais qui fournit des informations si nous savons l'analyser.

Se souvenir de nos grands-mères en mettant de côté l'amour romantique peut nous réserver de grandes surprises.

Cela peut également nous donner les clés pour comprendre, à travers leurs vies, comment les droits des femmes ont évolué (ou non dans certains cas). Leur héritage reflète le travail à faire concernant l'égalité entre hommes et femmes, mais aussi dans la lutte contre la violence de genre.  

L'histoire de nos ancêtres : tracer l'histoire pour comprendre la réalité  

Mes ancêtres sont deux femmes aux vies extrêmement différentes, pourtant elles partagent beaucoup en commun, et pas nécessairement des recettes de cuisine.  

D'un côté, il y a Tahabita, ma grand-mère paternelle. Elle est décédée en 2005 à l'âge de 98 ans. Mère de 9 enfants, Tahabita est née et a grandi dans un petit village de Zacatecas, au Mexique, et a été mariée plusieurs années à mon grand-père Antonio.

Il est mort bien avant elle car il était beaucoup plus âgé. Il était si vieux que la légende familiale raconte qu'un jour Antonio est passé devant la maison de ma grand-mère et l'a vue par la fenêtre, alors qu'elle prenait un bain de soleil dans sa petite chaise de bébé.

À l'époque de mes grands-parents, l'âge était certes un facteur déterminant pour la mortalité, mais en ce qui concerne les abus ou les agressions, le temps semble ne pas avoir passé.  

L'amour romantique transforme les horreurs en légendes d'amour  

Cela semblerait insensé qu'un garçon de 15 ou 20 ans s'intéresse à un bébé de quelques mois.

De nos jours, ces situations, ou plutôt ces crimes, continuent de se produire dans de nombreux pays et sont même encouragés et promus par certaines communautés mondiales, mettant les filles en vente et/ou les mariant à des hommes.  

De l'autre côté, il y a Guadalupe, ma grand-mère maternelle, née et a grandi dans l'État de Jalisco, au Mexique. Aujourd'hui, elle a 87 ans, elle est veuve et vit à Los Angeles, aux États-Unis. Guadalupe est tombée enceinte à 15 ans.

Allez savoir si c'était une grossesse désirée, fruit d'une relation consentie avec mon grand-père Andrés, et si pour cette raison, la famille a décidé de les marier.

Ou est-ce que le mariage a eu lieu pour sauver l'honneur de mon arrière-grand-père ou parce que les jeunes filles décentes ne tombent pas enceintes juste ainsi, n'est-ce pas ?  

Au Mexique, l'on considère qu'une fille de 15 ans devient une femme au moment où elle a ses premières règles. Alors 15 ans, c'est largement suffisant pour s'occuper d'un bébé, non ? Eh bien non, mais voici comment les choses se sont passées.  

Ce qu'elles ont en commun, c'est que toutes deux se sont embarquées dans l'aventure de la maternité, peut-être sans le vouloir. Et, sûrement qu'aucune d'elles n'a pu choisir cette maternité. Entre nous, j'en suis certaine.

L'histoire de tes ancêtres est étroitement liée à tes droits

Quelles ressources avaient-elles pour dire qu'elles ne voulaient pas ? Quelle éducation sexuelle ont-elles reçue ? Comment pouvaient-elles se défendre contre les machismes qui les entouraient ?

Quelles ressources avaient-elles pour dire qu'elles ne voulaient pas ? Quelle éducation sexuelle ont-elles reçue ? Comment pouvaient-elles se défendre contre les machismes qui les entouraient ?

Les grands-mères et leurs moyens : elles ont fait ce qu'elles pouvaient  

Et ce n'est pas la faute de Guadalupe ni de Tahabita d'avoir mis au monde 9 enfants ou deux filles à un si jeune âge. Quelles ressources avaient-elles pour dire qu'elles ne voulaient pas ? Quelle éducation sexuelle ont-elles reçue ? Comment pouvaient-elles se défendre contre les machismes qui les entouraient ?

Comment pouvaient-elles savoir qu'elles étaient victimes d'un système patriarcal dans lequel leurs vies avaient peu de valeur, et que la seule manière d'avoir un certain statut était d'être épouse et mère, puisque c'était le seul rôle qui leur était accordé en tant que femmes ?

Les grands-mères et leurs moyens : elles ont fait ce qu'elles pouvaient  

Et ce n'est pas la faute de Guadalupe ni de Tahabita d'avoir mis au monde 9 enfants ou deux filles à un si jeune âge.

Quelles ressources avaient-elles pour dire qu'elles ne voulaient pas ? Quelle éducation sexuelle ont-elles reçue ? Comment pouvaient-elles se défendre contre les machismes qui les entouraient ?

Comment pouvaient-elles savoir qu'elles étaient victimes d'un système patriarcal dans lequel leurs vies avaient peu de valeur, et que la seule manière d'avoir un certain statut était d'être épouse et mère, puisque c'était le seul rôle qui leur était accordé en tant que femmes ?